La blogueuse aurait été arrêtée à la frontière syro-jordanienne.
Depuis 2009, Razan Ghazzawi anime son blog « razanghazzawi » et participe à des activités littéraires et d’information, a expliqué le centre, pressant les autorités de la libérer et de cesser « la répression des blogueurs et les journalistes ».
Les autorités syriennes interdisent à la plupart des journalistes étrangers de couvrir le soulèvement, les médias internationaux dépendent en grande partie des vidéos de manifestants postés sur YouTube et d’autres sites internet.
Les activités en ligne des opposants au régime de Damas font l’objet d’une vive répression.
source © AFP